Les Maasaï
(en quelques dates)
Maasaï vient de Ilmao (« les jumeaux »), reflet de leur Spiritualité de la
Dualité Inséparable selon laquelle tout fonctionne par paires d’éléments
complémentaires (par ex : jour/nuit ; masculin/féminin ; courage/lâcheté,
etc.)
Avant 1400 : Les Maasaï, nilotiques dits des plaines, ont pour origine l’Egypte d’Akhénaton
1700 : Les Maasaï ont façonné les « meilleurs pâturages du monde », le long de la Vallée du Rift, sur douze cents kilomètres, du nord au sud, du Lac Baringo jusqu’à Kiteto, en Tanzanie actuelle, et sur trois cents kilomètres, d’est en ouest. Ils ne colonisent aucun peuple.
1885 : première traversée du pays maasaï par un Européen, l’Ecossais Joseph Thomson
1890 : mise en place d’une frontière internationale entre le Kénya anglais et le Tanganyika allemand. Le peuple maasaï est coupé en deux.
Avant 1400 : Les Maasaï, nilotiques dits des plaines, ont pour origine l’Egypte d’Akhénaton
1700 : Les Maasaï ont façonné les « meilleurs pâturages du monde », le long de la Vallée du Rift, sur douze cents kilomètres, du nord au sud, du Lac Baringo jusqu’à Kiteto, en Tanzanie actuelle, et sur trois cents kilomètres, d’est en ouest. Ils ne colonisent aucun peuple.
1885 : première traversée du pays maasaï par un Européen, l’Ecossais Joseph Thomson
1890 : mise en place d’une frontière internationale entre le Kénya anglais et le Tanganyika allemand. Le peuple maasaï est coupé en deux.
1891-1892 : le « Désastre », deux années ainsi qualifiées par les Maasaï où ils échappèrent de peu à leur anéantissement. Une peste bovine décime leurs troupeaux, à laquelle succède une longue sécheresse puis une épidémie de variole.
1904-1911 : Les Anglais déguisent la plus grande spoliation de terres de toute l’histoire de l’Empire colonial britannique derrière un pseudo-accord sous la forme de deux traités iniques, les seuls jamais conclus par les Anglais avec des « Primitifs » d’Afrique, selon l’expression de l’époque. Les Maasaï perdent les trois quarts de leur territoire et sont confinés dans une réserve infestée de tiques et de mouches tsé tsé.
1945 : Création du concept de Parc National. Les Maasaï perdent à nouveau de vastes territoires transformés en sanctuaires de la faune sauvage : Nairobi, Tsavo West, Amboseli, Maasaï-Mara, Serengeti, Ngorongoro, etc.
1970 : Instauration d’une réforme foncière qui découpe le pays maasaï Kényan en ranchs collectifs.
1904-1911 : Les Anglais déguisent la plus grande spoliation de terres de toute l’histoire de l’Empire colonial britannique derrière un pseudo-accord sous la forme de deux traités iniques, les seuls jamais conclus par les Anglais avec des « Primitifs » d’Afrique, selon l’expression de l’époque. Les Maasaï perdent les trois quarts de leur territoire et sont confinés dans une réserve infestée de tiques et de mouches tsé tsé.
1945 : Création du concept de Parc National. Les Maasaï perdent à nouveau de vastes territoires transformés en sanctuaires de la faune sauvage : Nairobi, Tsavo West, Amboseli, Maasaï-Mara, Serengeti, Ngorongoro, etc.
1970 : Instauration d’une réforme foncière qui découpe le pays maasaï Kényan en ranchs collectifs.
1988 : Privatisation forcée des terres maasaï du Kénya. Rackets fonciers et ventes massives de parcelles individuelles se succèdent à un rythme effréné. De nombreux suicides, du jamais vu chez les Maasaï ! Résistance accrue de certaines sections maasaï telles que les Loïta où se situe la Forêt-de-L’Enfant-
Perdu.
1992 : L’Homme-Médecine de Très Grande Renommée Mokompo Ole Simel prend la tête de la Résistance pour empêcher la forêt primaire de L’Enfant- Perdu, cœur spirituel du peuple maasaï et nouvelle proie du gouvernement, de devenir un énième parc national.
2001 : Les Autorités Locales du District de Narok sont déboutées par la justice et doivent renoncer à faire de la forêt une réserve touristique.
2020 : La Forêt-de-L’Enfant-Perdu est toujours entre les mains des pasteurs maasaï traditionnels, sous la houlette du chef spirituel Mokompo Ole Simel.
1992 : L’Homme-Médecine de Très Grande Renommée Mokompo Ole Simel prend la tête de la Résistance pour empêcher la forêt primaire de L’Enfant- Perdu, cœur spirituel du peuple maasaï et nouvelle proie du gouvernement, de devenir un énième parc national.
2001 : Les Autorités Locales du District de Narok sont déboutées par la justice et doivent renoncer à faire de la forêt une réserve touristique.
2020 : La Forêt-de-L’Enfant-Perdu est toujours entre les mains des pasteurs maasaï traditionnels, sous la houlette du chef spirituel Mokompo Ole Simel.